HOPe, le nouveau média sportif et solidaire soutenu par Blissports

Dans un premier temps, nous allons vous présenter ce projet incroyable porté par un entrepreneur exceptionnel. Hope est un média sportif solidaire créé sous forme d’une association loi 1901.
La mission de ce média est de raconter au long court les trajectoires peu communes et souvent extraordinaires de jeunes sportifs âgés de 16 à 24 ans à l’heure où nous écrivons ces lignes. Hope vous invite à être transporté dans leur rêve ! Ce rêve fou que chaque athlète français fait en ce moment de participer et de briller aux Jeux Olympiques et Paralympiques qui se dérouleront en France à Paris en 2024.
Afin de vous permettre de suivre ces jeunes espoirs, Hope s’est fixé 3 missions :
- Venir en aide aux jeunes athlètes issus de tous les milieux pour atteindre leur rêve olympique ;
- Partager avec la plus grande communauté possible, les émotions, les joies, les déceptions de ces jeunes sportifs ;
- Permettre à des enfants malades de participer à cet évènement sportif historique en leur donnant la chance de vivre pleinement la joie des jeux.
Déjà 9 sportifs dans l’aventure !

9 sportifs ont rejoint l’aventure et beaucoup d’autres vont suivre dans les prochaines semaines jusqu’à constituer une équipe d’une trentaine d’athlètes.
Parmi eux vous retrouverez :
- Emilie Morier en triathlon (championne du Monde en relais mixte, championne du Monde U23 en 2019)
- Victor Levecque en équitation (10 fois médaillé européen dont 4 titres de champion d’Europe dans les catégories jeunes)
- Camille Prigent en kayak slalom (Championne du Monde par équipe, championne du Monde des moins de 23 ans)
- Manon Brunet en escrime (4ème aux JO de Rio en 2016, vainqueur de 5 Coupes du Monde, Championne du Monde par équipe)
- Manon Pianazza en planche à voile (Vice-championne du Monde, vice-championne d’Europe jeune)
- Nélia Barbosa en paracanoë (4ème aux Championnats du Monde 2019)
- Matteo Desgouillons en hockey sur gazon (Vice-champion de France Elite 2018-2019)
- Tallya Brillaux en boxe (médaillée d’argent aux Jeux Olympiques de la jeunesse en 2018)
- Carlota Dudek en breakdance (5ème aux Jeux Olympiques de la jeunesse en 2018).
Certains d’entre eux s’apprêtaient d’ailleurs à partir pour Tokyo cet été avant que la crise sanitaire du Covid-19 malheureusement n’impact aussi le sport mondial. Toutefois ce n’est que partie remise à l’an prochain.
Un média indépendant, un fondateur de talent
Hope est assurément un média indépendant. Chez Blissports, ce qui nous plaît par-dessus tout, c’est l’engagement et la passion qui anime Thibault, son fondateur. Il a pensé son projet de manière solidaire et l’a créé comme un moyen au service des talents. Conçu comme un outil d’inclusion pour donner la place que les femmes ne devraient plus avoir à réclamer, il a mis les meilleures valeurs du sport dans Hope. Et c’est pour nous une inspiration.
HOPe lance sa campagne de crowdfunding
Pour garantir son indépendance HOPe à choisis un modèle économique basé sur la participation d’entreprises et de collectivités locales, qui deviennent de facto partenaires du projet. Par ailleurs, l’association a aussi recours au mécénat d’entreprise et individuel.
Ainsi pour favoriser son lancement la jeune association a lancé une campagne Kisskissbankbank de financement participatif qui rencontre déjà un franc succès. Elle annonce une répartition de son budget comme suit :
- 40 % sera consacré aux bourses des athlètes afin de leur apporter l’aide nécessaire dans leur préparation olympique / paralympique. En effet, les athlètes sélectionnés par HOPe sont amateurs et ne vivent pas de leur sport même en étant parmi les meilleurs mondiaux dans leur discipline. Thibaut précise : « Malgré parfois quelques sponsors, tous ces sportifs qui nous font tant rêver lors des JO et qui nous rendent si fiers, mettent la main à la poche depuis leur plus jeune âge afin de pouvoir s’entraîner dans les meilleures conditions possibles : matériel, stages, entraineurs, compétitions… A titre d’exemples, le kayak de Camille Prigent coûte 2 000 €. Il doit être changé tous les ans. Les frais de compétition de Manon Pianazza, grand espoir française de planche à voile s’élèvent à 8 000 € par an. Le coût d’un stage hivernal à l’étranger pour préparer la saison de triathlète d’Emilie Morier s’élève à environ 3 500 €. »
- 45% servira à la production des contenus médias et à leur diffusion.
- 15% du budget sera consacré à la vie et aux frais de l’association (évènements avec les partenaires / athlètes – journées avec les enfants malades – frais liés au fonctionnement de l’association).
Vous pouvez dès à présent suivre HOPe sur Instagram et YouTube !
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